16 mai 2008
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Q : Monsieur Gay, vous dirigez le magasin Biocoop qui vient de s'ouvrir au Raincy, quel est votre parcours ?
R : Je suis consommateur bio depuis une vingtaine d’années et j’ai voulu créer mon entreprise, j’ai un passé de vingt ans d’employé de banque et je m’occupais entre autre de la création d’entreprises, ce qui m’a amené naturellement à créer la mienne avec ma compagne. (Liliane Metz, ancienne associée dans une société d’informatique NDLR).
R : Je suis consommateur bio depuis une vingtaine d’années et j’ai voulu créer mon entreprise, j’ai un passé de vingt ans d’employé de banque et je m’occupais entre autre de la création d’entreprises, ce qui m’a amené naturellement à créer la mienne avec ma compagne. (Liliane Metz, ancienne associée dans une société d’informatique NDLR).
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Q : Qu’est ce qui vous a décidé d’ouvrir ce magasin au Raincy ?
R : Nous nous sommes aperçus qu’ici il n’y avait pas d’offre équivalente dans les alentours.
Q : Comment se sont déroulés les premiers jours ?
R : Nous avons été dépassés par les événements, les travaux n’étaient pas finis et nous avons été surpris par l’affluence alors que nous n’avions pas communiqué ou très peu !
R : Nous nous sommes aperçus qu’ici il n’y avait pas d’offre équivalente dans les alentours.
Q : Comment se sont déroulés les premiers jours ?
R : Nous avons été dépassés par les événements, les travaux n’étaient pas finis et nous avons été surpris par l’affluence alors que nous n’avions pas communiqué ou très peu !
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Q : Est-ce un engagement militant que d’ouvrir un tel magasin ?
R : C’est une démarche professionnelle, une envie personnelle et un choix de vie, nous avons cinq enfants et nous avons envie d’avoir une démarche qui prenne en compte leur avenir et leur environnement, c’est un moyen de mettre en pratique nos expériences dans un domaine qui nous tient à cœur.
Q : Le site internet de Biocoop précise que vous avez pour objectif de peser sur les choix de société. Pensez-vous qu’au Raincy la municipalité s’engage assez dans le sens du développement durable ?
R : Nous ne sommes pas Raincéens et n’avons pas le recul suffisant pour savoir si la ville mène une action de fond, mais notre présence en elle-même pèse et s’inscrit dans une démarche qui va dans le sens de l’environnement et de l’interdiction des OGM.
R : C’est une démarche professionnelle, une envie personnelle et un choix de vie, nous avons cinq enfants et nous avons envie d’avoir une démarche qui prenne en compte leur avenir et leur environnement, c’est un moyen de mettre en pratique nos expériences dans un domaine qui nous tient à cœur.
Q : Le site internet de Biocoop précise que vous avez pour objectif de peser sur les choix de société. Pensez-vous qu’au Raincy la municipalité s’engage assez dans le sens du développement durable ?
R : Nous ne sommes pas Raincéens et n’avons pas le recul suffisant pour savoir si la ville mène une action de fond, mais notre présence en elle-même pèse et s’inscrit dans une démarche qui va dans le sens de l’environnement et de l’interdiction des OGM.
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